En ce mois de ramadan, j’ai trouvé particulièrement intéressant de vous faire partager ce témoignage qui m’a touchée.
Elle nous est relatée par une femme que l’on nommera Sofia.
« Il y a dix ans, j’étais enceinte de 5 mois et demi de ma première fille lorsque les médecins m’annoncèrent qu’il ne fallait pas m’attacher à mon enfant- Oui, oui ce sont vraiment les mots qu’ils ont utilisés- Il ne fallait pas que je m’attache à ma fille parce qu’il y avait de grandes chances qu’elle meure et que si elle ne mourrait pas, il y avait de grandes chances qu’elle soit handicapée lourdement. Quelle ne fut ma tristesse !
J’ai donc accouché à 24 semaines de grossesse.
Il faut savoir que mes enfants sont d’origine turc, et un jour la tante du père de mes enfants-ça faisait à peu près un mois que j’avais accouché- la tante du père de mes enfants m’a dit : « je fais des invocations pour vous, si tu veux, toi aussi tu peux faire une douha ( invocation) » et je lui répondis « ooh, pff à quoi ça servirait ? »
La tante insista « Si si si, qu’as-tu as perdre ? Au contraire, tu as tout à gagner ! »
Quelques jours passèrent et je n’avais toujours pas fait de douhas.
Un jour, le cœur de mon bébé était à 122 battements par minute, ce qui est normal. Tout d’un coup, il est descendu à 58 battements par minute et de 58, il est passé à 0. Là, l’alarme d’urgence s’est mise à sonner, mais vraiment c’était la grosse panique dans tous le service. Au moins une douzaine de personnel soignant se sont regroupé autour de la couveuse où se trouvait mon bébé.
Et moi en train de péter les plombs à attendre- Qu’est-ce qui se passe ?
Ils ont dit : « Faites sortir les parents, faites sortir les parents ! »
Nous sommes sortis et là j’ai fait ma douha, j’ai dit ; « Oh mon Dieu, si Tu existes, s’il te plaît, laisse la vie à ma fille, ne la prends pas et s’Il te plaît fais en sorte qu’elle n’ait aucune, aucune séquelles et après ça même si elle est difficile, même si elle n’écoute jamais, quoi qu’il se passe avec elle, alors je le supporterais. »
Sous cette couveuse, ma fille avait besoin d’une machine à oxygène pour respirer. Elle en avait besoin entre 87 et 93%.
Eh bien, sachez que 5 jours après avoir fait ma douha, les médecins lui ont retirés cette machine, et lorsque, je suis arrivée dans sa chambreElle respirait seule par l’aide de Dieu subhan’Allah !
Vous savez quoi je n’aurais jamais dû faire la fin de ma douha !
Mais el hamdulilah, ma fille est vivante et n’a aucune séquelle. Elle est même très intelligente masha’Allah et maintenant elle vit très très bien.
Plusieurs médecins ont utilisés à plusieurs reprises le terme « miracle » pour qualifier cela mais moi j’ai sû do’ù tout cela venait : d’Allah le Très Haut.
Depuis ce jour-là je crois vraiment en Lui et ces dernières années, Il augmenté ma foi ; al Hamdulilah ! »
Je vous laisse méditer sur ça :
« Et quand Mes serviteurs t’interrogent sur Moi alors Je suis tout proche: J’exauce la demande de celui qui M’invoque quand il M’invoque. Qu’ils répondent à Mon appel et qu’ils croient en Moi afin qu’ils soient bien guidés. » [ Coran Sourate 2 – Verset 186 ]
« Ne désespérez pas de la Miséricorde de Dieu, car seul les mécréants désespèrent de la Miséricorde de Dieu »
(Coran, Sourate 12-verset87).
Je remercie du fond du cœur cette personne qui se reconnaîtra et souhaite la récompense en Bien. Si toi aussi tu as une expérience à nous faire partager, n’hésites pas !
Les informations présentées sur ce site n’ont pas pour objectif de se substituer à un traitement ou aux conseils d’un médecin, ou d’un spécialiste et doivent de préférence être envisagés sur des recommandations personnalisées.